Désinformation
La désinformation représente une menace déstabilisatrice à l’accès aux sources d’informations fiables sur lesquelles les démocraties dépendent.
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La désinformation représente une menace déstabilisatrice à l’accès aux sources d’informations fiables sur lesquelles les démocraties dépendent.
Le Centre d'études stratégiques de l'Afrique (CESA) et le Centre des hautes études de défense et de sécurité (CHEDS) organisent une table ronde qui explore les bonnes pratiques en matière de professionnalisme des forces de sécurité et de gouvernance du secteur de la sécurité en Afrique.
Le président ghanéen Akufo-Addo appelle l'Afrique à renforcer la stabilité et la prospérité en investissant dans les institutions démocratiques et en améliorant l'intégrité des processus électoraux.
Le projet de la Chine d'ajouter une nouvelle base navale en Afrique soulève des questions sur la stratégie de plus en plus militarisée de la Chine et peut alimenter les craintes d'une atteinte à la souveraineté dans le cadre d'une nouvelle « ruée vers l'Afrique ».
Le réchauffement climatique entraîne une augmentation de la fréquence et de l’intensité des tempêtes en Afrique, ce qui exacerbe d’autres facteurs de stress socio-économiques sur le continent.
Le Centre d’études stratégiques de l’Afrique animera un programme de deux semaines, destiné aux professionnels de niveau intermédiaire du secteur de la sécurité en Afrique qui ont fait preuve de leadership dans leurs domaines. En mettant l’accent sur les échanges entre pairs, ce séminaire important incarne la mission du CESA de faire progresser la sécurité en Afrique en renforçant la compréhension, en offrant une plateforme de dialogue, en établissant des partenariats durables et en servant de catalyseur à des solutions stratégiques.
La Russie tente d’exporter son modèle de gouvernance et d’influence en Afrique. L’invasion de l’Ukraine en est un coup de semonce, avec des implications qui donnent à réfléchir pour la souveraineté et la stabilité de l’Afrique.
La dégradation de la situation sécuritaire dans les régions de l’Est et des Cascades au Burkina Faso et de Sikasso et de Kayes au Mali, régions qui servent aujourd’hui de base arrière a des groupes islamistes militants tels que le JNIM, menace maintenant le nord de la Côte d’Ivoire et du Benin, et pourrait aussi s’étendre au Togo, au Ghana, au Sénégal et en Guinée. Si le menace reste contenue dans ces pays côtiers, éviter qu’elle ne se propage requiert des États que leurs réponses civiles et militaires soient adaptées et qu’ils évitent les erreurs de leurs voisins du nord, notamment en matière de gouvernance, d’accès aux ressources, de stigmatisation communautaire, de dépendance sur des groupes d’autodéfense traditionnels et de respect des droits humains.
Depuis les années 1970, le réchauffement climatique en Afrique contribue non seulement à des canicules à la fois plus fréquentes et plus longues, mais aussi à trois fois plus de sècheresses, quatre fois plus de tempêtes et dix fois plus d’inondations. Les menaces sécuritaires s’en trouvent elles aussi exacerbées.
En l’absence d’un cadre réglementaire solide, le déploiement des sociétés de sécurité chinoises en Afrique va croissant. Cela constitue des risques accrus envers les citoyens africains, et pose des questions fondamentales sur la responsabilité de la sécurité en Afrique.
Une gestion efficace de la transition vers un régime civil offrirait à l’armée soudanaise plus de stabilité, un soutien budgétaire et des avantages sociaux.
Les intérêts des citoyens africains peuvent être davantage pris en compte dans les accords d’investissements conclus avec la Chine : il s’agit de veiller à la transparence des accords, de faire appel à des experts et de ne pas négliger la population locale.