Cinq zones de violence des groupes islamistes militants au Sahel
Une panoplie d’acteurs, de facteurs et de motivations caractérise l’environnement sécuritaire de l’ouest du Sahel. Cette réalité appelle à des réponses adaptées à chaque contexte.
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Une panoplie d’acteurs, de facteurs et de motivations caractérise l’environnement sécuritaire de l’ouest du Sahel. Cette réalité appelle à des réponses adaptées à chaque contexte.
L’approche ascendante, multisectorielle et de co-partenariat de la TICAD est la bienvenue en Afrique et offre un modèle de la valeur des partenariats à long terme pour renforcer le développement, la paix et la sécurité.
Le projet de la Chine d'ajouter une nouvelle base navale en Afrique soulève des questions sur la stratégie de plus en plus militarisée de la Chine et peut alimenter les craintes d'une atteinte à la souveraineté dans le cadre d'une nouvelle « ruée vers l'Afrique ».
Le réchauffement climatique entraîne une augmentation de la fréquence et de l’intensité des tempêtes en Afrique, ce qui exacerbe d’autres facteurs de stress socio-économiques sur le continent.
La perte de munitions et d’autres matériels létaux par les forces armées et les opérations de paix africaines est un facteur clé du maintien des groupes militants à l’origine de l’instabilité sur le continent.
Violent extremism remains one of Africa’s most pressing security threats. The following publications provide a series of resources for countering violent extremism initiatives in Africa.
Les établissements d’enseignement professionnel militaire ont pour objectif de favoriser des armées capables et apolitiques qui défendent la constitution et servent des dirigeants démocratiquement élus. Pour ce faire, elles doivent cependant être ancrées dans une culture qui renforce ces mêmes valeurs.
La violence des groupes extrémistes contre les civils est motivée par des facteurs spécifiques au contexte – griefs des exogroupes, intimidation pour contrôler un territoire et réaction à des mesures de sécurité brutales – qui nécessitent une réponse renforcée au niveau communautaire et un professionnalisme militaire.
En 2021, l’Afrique a subi un nouveau niveau record de violence islamiste, propulsé par une augmentation de 70 % de la violence liée aux groupes islamistes militants au Sahel.
En réponse aux coups d’État, aux conflits et aux autres déraillements des processus démocratiques de ces dernières années, les élections africaines de 2022 constituent, en grande partie, un effort pour redresser le navire démocratique sur le continent.
Les embargos sur les armes peuvent s’avérer efficaces mais nécessitent l’adhésion des organisations régionales et internationales, un contrôle adéquat et l’application de sanctions suffisantes à ceux qui les contournent.
La résilience des groupes djihadistes en Afrique subsaharienne s’explique davantage par leur exploitation de dynamiques locales que de connexions opérationnelles ténues avec le monde arabe. En effet, les groupes tels que la Katiba Macina, AQMI, EIGS, Boko Haram, ou même les ADF de l’est congolais ou les Chebab de Somalie ou du Mozambique justifient leurs actions du fait de la mauvaise gouvernance et de la faiblesse des États de la région. Ils tirent aussi parti de dynamique économique, de logiques communautaires, et de porosité des frontières pour faciliter le mouvement des combattants.