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"gouvernance"
Focus thématique
publié par le Centre d’études stratégiques de l’Afrique
le 18 mars 2022
Des acteurs extérieurs actifs en Afrique, la Russie est sans doute celui qui a le plus accru son influence ces dernières années. Ses engagements passent de liens plus profonds avec l’Afrique du Nord, de liens eux aussi élargis avec la République centrafricaine et les pays du Sahel, à une relance de liens datant de la Guerre Froide avec les pays d’Afrique australe. L’approche russe est distincte de celle d’autres acteurs puisque Moscou s’appuie souvent sur des moyens irréguliers—d'ailleurs souvent extralégaux—pour étendre son influence, notamment en déployant, parmi d’autres cordes à son arc, mercenaires, désinformation, ingérence électorale, soutien aux coups d’État et des accords d’échange d’armes contre des ressources. Cette stratégie à bas coût, mais très influente cherche à promouvoir un monde diffèrent que les systèmes démocratiques et basés sur les règles auxquels la plupart des africains aspirent. Les résultats des interventions russes en Afrique auront donc de profondes implications sur les normes de gouvernance et la sécurité du continent. Voici une séries de nos analyses sur l’engagement de la Russie en Afrique.
Éclairage
publié par Paul Nantulya
le 11 mars 2022
Pour être plus significative dans la vie des citoyens et pour mieux réaliser la vision de ses fondateurs, l’Union africaine devra renforcer ses institutions techniques, législatives et judiciaires.
Éclairage
publié par Joseph Siegle
le 11 mars 2022
La Russie tente d’exporter son modèle de gouvernance et d’influence en Afrique. L’invasion de l’Ukraine en est un coup de semonce, avec des implications qui donnent à réfléchir pour la souveraineté et la stabilité de l’Afrique.
Recherche recommandée
publié par Mathieu Pellerin, Ifri
le 11 février 2022
La dégradation de la situation sécuritaire dans les régions de l’Est et des Cascades au Burkina Faso et de Sikasso et de Kayes au Mali, régions qui servent aujourd’hui de base arrière a des groupes islamistes militants tels que le JNIM, menace maintenant le nord de la Côte d’Ivoire et du Benin, et pourrait aussi s’étendre au Togo, au Ghana, au Sénégal et en Guinée. Si le menace reste contenue dans ces pays côtiers, éviter qu’elle ne se propage requiert des États que leurs réponses civiles et militaires soient adaptées et qu’ils évitent les erreurs de leurs voisins du nord, notamment en matière de gouvernance, d’accès aux ressources, de stigmatisation communautaire, de dépendance sur des groupes d’autodéfense traditionnels et de respect des droits humains.
Recherche recommandée
publié par Justin Mwetaminwa et Thierry Vircoulon, Ifri
le 9 février 2022
Des entreprises chinoises qui se sont implantées au Sud Kivu après la découverte de gisements d’or en dehors de tout cadre légal provoquent la colère des populations car leurs exploitations détruisent des champs et polluent des rivières. Les autorités congolaises n’y répondent cependant que de façon contradictoire, démontrant la gouvernance toujours corrompue du secteur minier. Des militaires en assurent également la sécurité, bien que leur présence y soit interdite par la loi, et commettent des abus des droits humains. Pour y remédier, il faudra démanteler les réseaux corrompus, a la fois congolais et étrangers, qui permettent à des intérêts prédateurs d’exploiter ces ressources.
Éclairage
publié par Joseph Siegle et Candace Cook
le 21 janvier 2022
En réponse aux coups d’État, aux conflits et aux autres déraillements des processus démocratiques de ces dernières années, les élections africaines de 2022 constituent, en grande partie, un effort pour redresser le navire démocratique sur le continent.
Program Materials
A virtual academic program cohosted with the African Centre for the Study and Research on Terrorism that focuses on effective community policing as a tool for countering violent extremism. This program provides an opportunity to capture and share insights, experiences, and lessons, among countries and across regions, about both the implementation challenges in community policing and the practical experiences in bridging gaps between the security sector and the communities they are entrusted with protecting and serving
Éclairage
publié par Nathaniel Allen et Catherine Lena Kelly
le 13 janvier 2022
Les gouvernements africains restreignent les communications numériques et les droits des citoyens sous prétexte de sécurité. Ce faisant, ils contribuent malencontreusement à des pertes économiques et à une plus grande instabilité.
Éclairage
publié par Joseph Siegle
le 3 janvier 2022
La montée récente des coups d'État en Afrique reflète une diminution de la volonté régionale et internationale à appliquer les normes anti-coup. Pour inverser cette tendance, il faudra promouvoir la démocratie et systématiquement imposer de vrais coûts aux putschistes.
Infographic
publié par le Centre d’études stratégiques de l’Afrique
le 22 décembre 2021
Les facteurs incitatifs et dissuasifs de la migration en Afrique continuent à s’intensifier, présageant pour 2022 une augmentation des flux migratoires à la à l’intérieur du continent et à son départ.
Program Materials
A Webinar on Thursday, December 3, 2020, designed to expand understanding of the key technological and geopolitical trends driving Africa’s digital revolution of most concern to African security sector professionals; explore the main ways in which rising internet penetration, technological innovation and the diffusion of cyber capabilities are influencing Africa’s national security landscape; discuss and consider how the COVID-19 pandemic influence how the digital revolution will impact Africa’s security landscape; and identify the cyber capabilities and intentions and of key national security actors, including states, criminal networks and terrorist groups.
Bulletin de la sécurité africaine N° 40
publié par Maxime Ricard et Kouamé Félix Grodji
le 13 décembre 2021
Des groupes de sécurité communautaires émergent dans les villes africaines en réponse à la criminalité et à la surcharge des forces de police. L’expérience d’Abidjan montre que la collaboration avec la police, la recherche d’alternatives aux tactiques coercitives et le maintien d’une supervision via des conseils locaux sont essentiels à l’efficacité de ces groupes.