Les pastoralistes d’Afrique : Un nouveau champ de bataille pour le terrorisme
Les groupes terroristes islamistes du Sahel et du Sahara tentent d'exploiter les revendications des pastoralistes pour mobiliser un plus grand soutien à leur projet.
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Les groupes terroristes islamistes du Sahel et du Sahara tentent d'exploiter les revendications des pastoralistes pour mobiliser un plus grand soutien à leur projet.
L’attaque terroriste contre un hôtel de luxe à Ouagadougou est la deuxième fois au cours des derniers mois que des groupes affiliés à Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) ont mené des attaques de ce type en dehors de leur zone de base. Benjamin Nickels évalue l’importance de ces attaques ainsi que les mesures qui pourraient être prises par les autorités burkinabées et leurs partenaires pour faire face aux menaces futures.
Quatre des huit provinces ou wilayat du califat autoproclamé se trouvent en Afrique : Algérie, Libye, Egypte et Nigéria. Bien que des questions persistent sur l’aptitude du groupe à diriger ses partisans en une campagne unifiée et coordonnée, ceux qui ont déclaré loyauté à ISIS ont adopté sa signature de brutalité. Les initiatives menées pour lutter... Continuer la lecture
À mesure que la menace terroriste évolue en Afrique du Nord et Afrique subsaharienne, le Centre de l’Afrique par le biais de ses divers programmes continue de réunir des professionnels militaires et les civils africains, américains et européens pour discuter des dimensions et solutions potentielles a cette menace. Lutte contre l’extrémisme violent Du 24 au... Continuer la lecture
La montée du militantisme islamique dans le Sahel, dans le nord-est du Nigeria et dans certaines parties de la Corne de l’Afrique a engendré un regain d’attention pour ces préoccupations sécuritaires changeantes. On aurait pu s’attendre à ce que l’interprétation Africaine de l’Islam, qui est historiquement tolérante et modérée, soit suffisante pour empêcher les points de vue extrémistes de gagner un support significatif, cependant ceci semble être de moins en moins le cas. En règle générale, la connaissance de ce défi sécuritaire non-conventionnel est basée davantage sur des spéculations que sur des évaluations empiriques. Les réponses doivent absolument éviter d’amalgamer des acteurs islamiques distincts tout en adressant les perceptions de désaffectation et de sous représentation, au niveau local, qui encourage l’apport de soutien aux militants.
Les conflits persistants en Afrique ont un effet cumulatif sur les crises de gouvernance du continent, éprouvant des régions déjà fragiles et ouvrant la porte à l’exploitation étrangère par des forces interposées, le trafic des ressources et la manipulation de l’information.
L’attentat perpétré récemment à Bamako s’inscrit dans le cadre d’une plus large poussée des groupes islamistes violents vers le sud du Mali. Il reflète aussi une situation sécuritaire qui se dégrade sous le règne de l’armée au Mali.
La répression croissante et l’intolérance de la junte guinéenne à l’égard des dissidents risquent de faire dérailler la transition promise vers un gouvernement civil tout en aggravant la crise humanitaire du pays.
Le Centre d’études stratégiques de l’Afrique animera un programme destiné aux professionnels de niveau intermédiaire du secteur de la sécurité en Afrique qui ont fait preuve de leadership dans leurs domaines. En mettant l’accent sur les échanges entre pairs, ce séminaire important incarne la mission du CESA de faire progresser la sécurité en Afrique en renforçant la compréhension, en offrant une plateforme de dialogue, en établissant des partenariats durables et en servant de catalyseur à des solutions stratégiques.
L’utilisation des contributions statutaires par les Nations unies pour soutenir les opérations de paix menées par l’Union africaine pourrait revitaliser les opérations de paix en Afrique.
Après une décennie de gains remarquables obtenus sous la gouvernance de gouvernements démocratiquement élus, le déraillement de l’ordre constitutionnel provoqué par le coup d’État militaire de juillet 2023 a entrainé pour les citoyens nigériens une détérioration de la sécurité, du bien-être économique et de leur capacité d’agir.
En Afrique, le calendrier électoral de 2024 présente de multiples facettes et offre des possibilités de renforcer le multipartisme, de revenir au constitutionnalisme après les coups d’État et de renier les exercices superficiels.