Afrique du Sud : 29 mai
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Un nouveau record a été établi l'année dernière puisque les morts imputables à la violence des islamistes militants ont augmenté de 20 % pour atteindre plus de 23 000. Plus de 80 % des décès se sont produits au Sahel et en Somalie.
Des facteurs structurels continuent à faire grimper les taux de migration à l’intérieur et à l’extérieur de l’Afrique. Bien qu’il s’agisse d’une source vitale de main-d’œuvre pour les pays d’accueil, la migration irrégulière continue de présenter des risques extraordinaires.
Environ 82 % des 149 millions d’Africains confrontés à une insécurité alimentaire aiguë se trouvent dans des pays touchés par des conflits, ce qui démontre que ces conflits restent le principal moteur de la crise alimentaire en Afrique.
Le contournement des limites de mandats est au cœur des nombreux disfonctionnements de la gouvernance en Afrique. Il est aussi lié à des niveaux plus élevés d’autocratie, de corruption, de conflit et de tendance aux coups d’État.
Le Front uni de la Chine coopte des personnes et des organisations bien placées pour cultiver le soutien et défendre les objectifs et les intérêts de la Chine tout en isolant ses adversaires en Afrique.
Poursuivant une tendance de dix ans, le nombre d’Africains déplacés de force a augmenté l’année dernière et s’élève aujourd’hui à plus de 40 millions.
L’année dernière, le nombre de décès liés aux groupes islamistes militants au Sahel et en Somalie a augmenté de 50 %, dépassant le précédent record de 2015, lorsque Boko Haram était dans sa phase la plus meurtrière.
L’intérêt particulier qu’accorde la Chine en matière d’opérations policières en Afrique pourrait y avoir des conséquences considérables sur la gouvernance de la sécurité.
La flambée de violence des groupes islamistes militants en Afrique est associée à une augmentation de 68 % des décès de civils, mettant en relief la nécessité d’adopter des stratégies de stabilisation centrées sur la population.
La Russie a systématiquement cherché à saper la démocratie en Afrique, tant pour normaliser l’autoritarisme que pour créer un point d’entrée pour l’influence russe.