Cartographie de la vague de désinformation en Afrique
Les campagnes de désinformation visant à manipuler les systèmes d’information africains ont presque quadruplé depuis 2022, entraînant des conséquences déstabilisantes et antidémocratiques.
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Les campagnes de désinformation visant à manipuler les systèmes d’information africains ont presque quadruplé depuis 2022, entraînant des conséquences déstabilisantes et antidémocratiques.
En cooptant les juridictions suprêmes, les dirigeants en place, déterminés à la survie de leur régime, peuvent se maintenir au pouvoir tout en conservant ce que leurs concitoyens considèrent comme des démocraties de façade.
En Afrique, le calendrier électoral de 2024 présente de multiples facettes et offre des possibilités de renforcer le multipartisme, de revenir au constitutionnalisme après les coups d’État et de renier les exercices superficiels.
Des facteurs structurels continuent à faire grimper les taux de migration à l’intérieur et à l’extérieur de l’Afrique. Bien qu’il s’agisse d’une source vitale de main-d’œuvre pour les pays d’accueil, la migration irrégulière continue de présenter des risques extraordinaires.
La violence des groupes extrémistes contre les civils est motivée par des facteurs spécifiques au contexte – griefs des exogroupes, intimidation pour contrôler un territoire et réaction à des mesures de sécurité brutales – qui nécessitent une réponse renforcée au niveau communautaire et un professionnalisme militaire.
La tendance de plus en plus marquée des acteurs politiques nationaux à déployer des programmes de désinformation ciblés nécessite une amélioration des capacités de vérification des faits en Afrique ainsi qu’une collaboration avec les organisations de réseaux sociaux.
La Tunisie est confrontée à une crise constitutionnelle suite aux défis posés à la séparation des pouvoirs et l’ampleur prise par l’exécutif. Il en résulte des implications non seulement pour la Tunisie mais aussi pour l’avenir de la démocratie en Afrique du Nord.
Pour tirer parti de ses progrès importants dans le domaine de l’antiterrorisme, la Tunisie doit faire encore plus d’efforts de prévention et renforcer ses mécanismes de contrôle, afin d’éviter les des abus de ses forces de sécurité.
La victoire électorale de "l'outsider politique" Kais Said au second tour de l'élection présidentielle en Tunisie reflète aussi bien l'indépendance croissante de ses institutions démocratiques que la frustration d’un public qui exige des prestations de service améliorées et une réduction des inégalités sociales.
Program materials for the Africa Center's 2019 program, “National Security Strategy Development Workshop: Central and Southern Africa.” Click here for syllabus, readings, and presentation slides.
La lutte pour l’institutionnalisation de démocraties légitimes et résilientes en Afrique est étroitement liée aux élections de 2019, avec des conséquences directes sur la sécurité.