La réforme de la police est en cours au Libéria depuis 2003. Pourtant, les plans robustes ne reçoivent régulièrement que la moitié du financement nécessaire. Alors que les agences de sécurité, les acteurs de la société civile, des donateurs et d’autres acteurs internationaux complètent parfois les déficits, leurs intérêts divergents ont parfois aussi entravé des progrès décisive. Une épidémie inattendue du virus Ebola en 2013 n’a fait que compliquer les efforts. Le résultat a été une mauvaise mise en œuvre des plans de haute qualité. L’expérience montre la nécessité d’une plus grande coordination des parties prenantes, de l’équilibre entre l’expansion avec la consolidation des acquis, et de mieux communiquer de nouveaux services au public afin qu’ils puissent contribuer et utiliser ces ressources comme prévu.
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