Des entretiens avec 100 passeurs et 3 000 migrants révèlent des tendances dans le trafic des migrants au Mali et au Niger. Au Niger, avant le passage en 2015 d’une loi contre le trafic, les réseaux étaient faciles d’accès, plus ou moins entretaillés, mais n’adhéraient pas toujours à une hiérarchie dans leurs opérations criminelles. Depuis l’adoption de cette loi, des réseaux plus professionnels, contrôlent ce marché. La plupart des migrants disent avoir commencé leur voyage sans passeurs mais ont dû finalement y avoir recours.
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