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"le Sahel"
Éclairage
publié par le Centre d’études stratégiques de l’Afrique
le 15 août 2022
La violence islamiste en Afrique n'a cessé d'augmenter au cours de la dernière décennie, doublant au cours des trois dernières années.
Une sélection du travail du Centre sur le Sahel.
Éclairage
publié par le Centre d’études stratégiques de l’Afrique
le 30 septembre 2022
Une panoplie d’acteurs, de facteurs et de motivations caractérise l’environnement sécuritaire de l’ouest du Sahel. Cette réalité appelle à des réponses adaptées à chaque contexte.
Bulletin de la sécurité africaine N° 41
publié par Michael Shurkin
le 8 août 2022
L’adaptation des structures des forces sahéliennes à des unités plus légères, plus mobiles et plus intégrées permettra de mieux soutenir les pratiques de contre-insurrection centrées sur la population, nécessaires pour inverser la trajectoire croissante des attaques extrémistes violentes.
Program Materials
Ce webinaire examine en profondeur les origines, les objectifs et les moteurs de la coalition Jama’at Nusrat Al Islam Wal Muslimin (JNIM), affiliée à Al-Qaïda, au Sahel. L’analyse tient compte de la dynamique de la composition du groupe, de ses objectifs au fil du temps, ainsi que des facteurs politiques et économiques qui lui ont permis de persister.
Recherche recommandée
publié par Mathieu Pellerin, Ifri
le 11 février 2022
La dégradation de la situation sécuritaire dans les régions de l’Est et des Cascades au Burkina Faso et de Sikasso et de Kayes au Mali, régions qui servent aujourd’hui de base arrière a des groupes islamistes militants tels que le JNIM, menace maintenant le nord de la Côte d’Ivoire et du Benin, et pourrait aussi s’étendre au Togo, au Ghana, au Sénégal et en Guinée. Si le menace reste contenue dans ces pays côtiers, éviter qu’elle ne se propage requiert des États que leurs réponses civiles et militaires soient adaptées et qu’ils évitent les erreurs de leurs voisins du nord, notamment en matière de gouvernance, d’accès aux ressources, de stigmatisation communautaire, de dépendance sur des groupes d’autodéfense traditionnels et de respect des droits humains.
Infographic
publié par le Centre d’études stratégiques de l’Afrique
le 26 janvier 2022
En 2021, l’Afrique a subi un nouveau niveau record de violence islamiste, propulsé par une augmentation de 70 % de la violence liée aux groupes islamistes militants au Sahel.
Recherche recommandée
publié par Marc-Antoine Pérouse de Montclos, IRSEM
le 29 octobre 2021
La résilience des groupes djihadistes en Afrique subsaharienne s’explique davantage par leur exploitation de dynamiques locales que de connexions opérationnelles ténues avec le monde arabe. En effet, les groupes tels que la Katiba Macina, AQMI, EIGS, Boko Haram, ou même les ADF de l’est congolais ou les Chebab de Somalie ou du Mozambique justifient leurs actions du fait de la mauvaise gouvernance et de la faiblesse des États de la région. Ils tirent aussi parti de dynamique économique, de logiques communautaires, et de porosité des frontières pour faciliter le mouvement des combattants.
Program Materials
Bulletin de la sécurité africaine N° 38
publié par Daniel Eizenga et Wendy Williams
le 22 janvier 2021
Composée d’une mosaïque d’entités opérationnelles, la coalition de groupes islamistes militants Jama’at Nusrat al Islam wal Muslimeen cherche à dissimuler derrière un front apparemment uni les opérations de ses différents constituants au Sahel, de manière à empêcher toute réponse plus robuste aux actions qu’elle mène.
Éclairage
publié par le Centre d’études stratégiques de l’Afrique
le 21 décembre 2020
La violence liée à l’État islamique au Grand Sahara (EIGS) a plus que doublé au cours de l’année écoulée. Les évènements associés à l’EIGS sont concentrés le long des frontières entre le Burkina Faso, le Niger et le Mali et prennent pour cible des civils dans presque la moitié des cas recensés.
Éclairage
publié par Modibo Ghaly Cissé
le 24 avril 2020
La présence disproportionnée des Peuls parmi les groupes islamistes armés au Sahel a conduit à la stigmatisation de toute la communauté peule. Ceci nécessite un besoin urgent de restaurer un climat de confiance entre les leaders peuls, les autorités gouvernementales et les communautés voisines.