Mozambique: 9 octobre
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La menace extrémiste violente dans le nord du Mozambique exploite les vulnérabilités sociétales sous-jacentes d’iniquité, d’insécurité des droits fonciers et de méfiance envers les autorités.
L'émergence d'un nouveau groupe militant islamiste dans le nord du Mozambique suscite de nombreuses préoccupations concernant l'influence de l'idéologie djihadiste internationale, la marginalisation sociale et économique des populations musulmanes locales ainsi que les réponses oppressives en matière de sécurité.
Les 163 millions d’Africains—un chiffre record—qui font face à une situation d’insécurité alimentaire aiguë se trouvent, pour 80 % d’entre eux, dans des pays en conflit. Au Soudan, au Soudan du Sud et au Mali, 840 000 de ces personnes feraient potentiellement face à la famine.
Le nombre de réfugiés africains, de personnes déplacées et de demandeurs d'asile a augmenté de 14 % au cours de l'année écoulée, pour atteindre plus de 45 millions de personnes.
Les morts imputables à la violence des islamistes militants ont augmenté de presque 60 % depuis 2021. Cette violence se distingue cependant par de grandes différences notamment entre les acteurs, leurs objectifs, et les tendances régionales de la menace.
La Chine promeut son modèle de parti dominant en Afrique par le biais d’une série de programmes de formation destinés aux cadres du parti et du gouvernement, même si ce modèle va à l’encontre de la préférence des Africains pour la démocratie multipartite.
L’utilisation des contributions statutaires par les Nations unies pour soutenir les opérations de paix menées par l’Union africaine pourrait revitaliser les opérations de paix en Afrique.
Les frappes de missiles et de drones armés par les milices houthies et les détournements par des pirates somaliens ont déstabilisé la navigation maritime de la mer Rouge à l’océan Indien occidental, ce qui a eu un impact sur la sécurité et le commerce pour l’ensemble de l’Afrique.
En cooptant les juridictions suprêmes, les dirigeants en place, déterminés à la survie de leur régime, peuvent se maintenir au pouvoir tout en conservant ce que leurs concitoyens considèrent comme des démocraties de façade.
En Afrique, le calendrier électoral de 2024 présente de multiples facettes et offre des possibilités de renforcer le multipartisme, de revenir au constitutionnalisme après les coups d’État et de renier les exercices superficiels.