Leçons tirées de la CVE dans le bassin du lac Tchad
Ce webinaire fournit une analyse approfondie des différentes approches et stratégies pour faire face à l'extrémisme violent et à son impact dans le bassin du lac Tchad.
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Ce webinaire fournit une analyse approfondie des différentes approches et stratégies pour faire face à l'extrémisme violent et à son impact dans le bassin du lac Tchad.
L’exploitation non réglementée des forêts tropicales du bassin du Congo menace de compromettre les moyens de subsistance de millions de foyers dans la région, de renforcer les réseaux transnationaux du crime organisé ainsi que d’accélérer considérablement le réchauffement climatique.
Poursuivant une tendance de dix ans, le nombre d’Africains déplacés de force a augmenté l’année dernière et s’élève aujourd’hui à plus de 40 millions.
Le Centre d'études stratégiques de l'Afrique a organisé un webinaire qui examine en profondeur la reconfiguration des organisations extrémistes violentes dans le bassin du lac Tchad, 16 mois après la mort du leader de Boko Haram, Abubakar Shekau. L'analyse examine les dynamiques dans la composition des groupes, leurs objectifs au fil du temps, ainsi que les facteurs politiques et économiques qui leur ont permis de persister.
La mort d’Idriss Déby est un aboutissement de l’instabilité persistante perpétuée par son régime. Le coup d’État qui a ensuite été mené par le fils du président défunt risque d’envenimer la violence politique dans ce pays géographiquement stratégique.
Face à la recrudescence des attaques de Boko Haram et de l’État islamique en Afrique de l’Ouest (EIAO) sur le territoire tchadien, une offensive militaire a été lancée pour nettoyer la zone. Pour garantir un réel succès sur le long terme, il faudra assurer une présence durable sur le terrain ainsi qu’une intensification de l’engagement dans la région.
Les morts et les événements violents liés aux groupes islamistes militants en Afrique se sont maintenus à un niveau presque record. 79 % des morts qui leurs sont imputables se sont produites au Sahel et en Somalie.
Les morts imputables à la violence des islamistes militants ont augmenté de presque 60 % depuis 2021. Cette violence se distingue cependant par de grandes différences notamment entre les acteurs, leurs objectifs, et les tendances régionales de la menace.
Les pays côtiers d’Afrique de l’Ouest peuvent renforcer leur résilience face à la menace de l’extrémisme violent en renforçant une réponse à plusieurs niveaux et en tenant compte des priorités locales, nationales et régionales.
L’utilisation des contributions statutaires par les Nations unies pour soutenir les opérations de paix menées par l’Union africaine pourrait revitaliser les opérations de paix en Afrique.
Un nouveau record a été établi l'année dernière puisque les morts imputables à la violence des islamistes militants ont augmenté de 20 % pour atteindre plus de 23 000. Plus de 80 % des décès se sont produits au Sahel et en Somalie.