Chercher nos vidéos pour
"Groupes islamistes militants"
Recherche recommandée
publié par Mathieu Pellerin, Ifri
le 11 février 2022
La dégradation de la situation sécuritaire dans les régions de l’Est et des Cascades au Burkina Faso et de Sikasso et de Kayes au Mali, régions qui servent aujourd’hui de base arrière a des groupes islamistes militants tels que le JNIM, menace maintenant le nord de la Côte d’Ivoire et du Benin, et pourrait aussi s’étendre au Togo, au Ghana, au Sénégal et en Guinée. Si le menace reste contenue dans ces pays côtiers, éviter qu’elle ne se propage requiert des États que leurs réponses civiles et militaires soient adaptées et qu’ils évitent les erreurs de leurs voisins du nord, notamment en matière de gouvernance, d’accès aux ressources, de stigmatisation communautaire, de dépendance sur des groupes d’autodéfense traditionnels et de respect des droits humains.
Infographic
publié par le Centre d’études stratégiques de l’Afrique
le 26 janvier 2022
En 2021, l’Afrique a subi un nouveau niveau record de violence islamiste, propulsé par une augmentation de 70 % de la violence liée aux groupes islamistes militants au Sahel.
Éclairage
publié par Kunle Adebajo and Hamza Ibrahim
le 30 octobre 2024
Les bandes criminelles de la région du nord-ouest du Nigeria sont devenues de plus en plus meurtrières, pratiquant régulièrement des enlèvements de masse, s’emparant de fermes dans un important grenier à blé et provoquant des déplacements massifs de population à l’intérieur du pays.
Infographic
publié par le Centre d’études stratégiques de l’Afrique
le 17 octobre 2024
Les 163 millions d’Africains—un chiffre record—qui font face à une situation d’insécurité alimentaire aiguë se trouvent, pour 80 % d’entre eux, dans des pays en conflit. Au Soudan, au Soudan du Sud et au Mali, 840 000 de ces personnes feraient potentiellement face à la famine.
Infographic
publié par le Centre d’études stratégiques de l’Afrique
le 19 septembre 2024
Le nombre de réfugiés africains, de personnes déplacées et de demandeurs d'asile a augmenté de 14 % au cours de l'année écoulée, pour atteindre plus de 45 millions de personnes.
Infographic
publié par le Centre d’études stratégiques de l’Afrique
le 26 août 2024
Les morts imputables à la violence des islamistes militants ont augmenté de presque 60 % depuis 2021. Cette violence se distingue cependant par de grandes différences notamment entre les acteurs, leurs objectifs, et les tendances régionales de la menace.
Bulletin de la sécurité africaine N° 43
publié par Daniel Eizenga et Amandine Gnanguênon
le 20 août 2024
Les pays côtiers d’Afrique de l’Ouest peuvent renforcer leur résilience face à la menace de l’extrémisme violent en renforçant une réponse à plusieurs niveaux et en tenant compte des priorités locales, nationales et régionales.
Éclairage
publié par le Centre d’études stratégiques de l’Afrique
le 20 juin 2024
Le renforcement des institutions démocratiques et l'amplification des valeurs traditionnelles africaines pour promouvoir la cohésion sociale et le consensus vont de pair avec la lutte contre l'extrémisme violent.
Éclairage
publié par Joseph Siegle and Jeffrey Smith
le 10 juin 2024
En plus de fragiliser la démocratie, l’acceptation des coups d’État militaires en Afrique va exacerber les problèmes sécuritaires, économiques et humanitaires.
Éclairage
publié par Nate Allen et Nicole Mazurova
le 21 mai 2024
L’utilisation des contributions statutaires par les Nations unies pour soutenir les opérations de paix menées par l’Union africaine pourrait revitaliser les opérations de paix en Afrique.
Infographic
publié par le Centre d’études stratégiques de l’Afrique
le 20 mai 2024
Après une décennie de gains remarquables obtenus sous la gouvernance de gouvernements démocratiquement élus, le déraillement de l’ordre constitutionnel provoqué par le coup d’État militaire de juillet 2023 a entrainé pour les citoyens nigériens une détérioration de la sécurité, du bien-être économique et de leur capacité d’agir.
Éclairage
publié par le Centre d’études stratégiques de l’Afrique
le 24 avril 2024
Le parti au pouvoir, en modifiant la constitution, élimine le suffrage universel pour élire le président et transforme le pays en un système parlementaire où la limite de mandats présidentiels est supprimée.